À la fin de décembre 1999, une surprenante série d’événements tragiques s’abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit Rémi Desmedt.
Dans cette région couverte de forêts, soumise à des rythmes lents, la disparition soudaine de cet enfant provoqua la stupeur et fut même considérée, par bien des habitants, comme le signe annonciateur des catastrophes à venir.
Pour Antoine, qui fut au centre de ce drame, tout commença par la mort du chien…
J'adore tout particulièrement ce romancier et je pense avoir lu une grande partie de ses livres. Une atmosphère particulière et des rebondissements dans un scénario qui se termine toujours par une fin magistrale : voilà les ingrédients auxquels on est habitués quand on lit du Pierre Lemaitre. Et bien, pour "Trois jours et une vie", rien de tout ça... Si, allez, je lui concède quand même d'avoir réussi à imposer une atmosphère lourde et oppressante. Mais ça s'arrête là. Pas de rebondissements et surtout une fin qui se termine... en fait qui se termine, point. Aucun "twist" dont il a le secret pour clore ce livre. La lecture m'a réellement ennuyée, mais je me suis dit que j'allais tenir jusqu'au bout, car Pierre Lemaitre allait sûrement sortir de son chapeau quelque chose de dingue pour terminer l'histoire et bien, déception sur toute la ligne, car ce livre se termine comme il a commencé, sans réel intérêt.
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